Spondylus radula Lamarck, 1806
LAMARCK, J. B. 1806. Suite des mémoires sur les fossiles des environs de Paris. Annales du Muséum d'Histoire Naturelle, 8: 347-355. [p. 351; pl. 28 [23], fig. 5 (1809)]
1806 Spondylus radula Lamarck, 1806
1835 Spondylus asperulus Münster in Goldfuss, 1835
1863 Spondylus astralagus Schafhäutl, 1863
1898 Spondylus aegyptiacus Newton, 1898
1973 Spondylus arabicus Abbass, 1973
1973 Spondylus cleopatrae Abbass, 1973
1973 Spondylus hammadi Abbass, 1973
1835 Spondylus asperulus Münster in Goldfuss, 1835
1863 Spondylus astralagus Schafhäutl, 1863
1898 Spondylus aegyptiacus Newton, 1898
1973 Spondylus arabicus Abbass, 1973
1973 Spondylus cleopatrae Abbass, 1973
1973 Spondylus hammadi Abbass, 1973
"Spondyle rape, spondylus radula, Annales, vol. 8, pag. 351, nº 1. La figure représente la coquille entiere, vue en dessus". J. B. Lamarck, 1908, Coquilles fossiles des environs de Paris, plate 28 [23], figure 5.
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«I. Spondyle rape. Vélin , n.º 33, f. 8 , et n.° 35, f. 1.
Spondylus (radula) subauritus; striis longitudinalibus asperis: aliis squamoso-muricatis, aliis submuticis granulatis. n.
L. n. Grignou. Les plus grands individus de cette espèce sont plus petits que le spondylus gaederopus: ils ont à peine 50 millimètres (21 lignes) de longueur. La coquille est ovale-orbiculaire, oblique, et rude au toucher, comme une rape. Elle est remarquable par les stries rayonnantes de sa valve supérieure qui sont toutes très-fines, nombreuses et serrées. Les unes, néanmoins, un peu plus fortes et plus relevées que les autres, portent de petites écailles relevées, en épines et distantes entre elles; mais ces stries épineuses sont séparées les unes des autres par six à neuf stries plus petites et simplement granuleuses. Il en résulte que les stries chargées de petites épines forment des rayons écartés entre eux, disposés d'une manière assez régulière et même élégante. Les épines de ces stries n'ont pas 2 millimètres de longueur, et la plupart en ont à peine un ou la moitie d'un. Le dessous de la lave inférieure est feuilleté par des lames élargies et transversales.
Mon cabinet et celui de M. Defrance.» JEAN BAPTISTE LAMARCK, 1806
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«Descripción. Concha subequilátera, ligeramente abombada en la parte posterior. Subequivalva. La valva izquierda es algo más convexa. Pero ambas poseen una convexidad bastante uniforme a lo largo del recorrido dorsoventral, lo que le proporciona un aspecto ovoide. Aurículas pequeñas y subiguales. Ambas valvas poseen un número variable de costillas con espinas pequeñas, muchas de ellas en forma trígona y puntiaguda, lo que le proporciona un tacto áspero.
Notas. Ha sido confundida muchas veces con S. rarispina, y hasta se podría considerar esta última como una variedad de S. radula, tal como apunta Deshayes (1864). Se distinguen porque S. radula tiene la convexidad de la valva izquierda menos pronunciada y más pronunciada la de la valva derecha y en que las costillas radiales son menos numerosas, con una mayor diferencia entre las principales y secundarias
Distribución. Este especie tiene una amplia distribución paleogeográfica. Se ha encontrado en la cuenca de París, en Alemania, en todo el dominio mediterráneo y alcanzando incluso al dominio Indopacífico. Su extensión estratigráfica comprende todo el Eoceno medio y superior. En nuestra zona de estudio también se distribuye desde el Luteciense al Bartoniense.»
CARRASCO, F. J. 1994. El género Spondylus en el Eoceno del Noreste de la Península Ibérica. Scripta Musei Geologi Seminarii Barcinonensis, 226: 1-21, pls. 1-3. [p. 12]
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Spondylus radula Lamarck, 1806; F. J. Carrasco, 1994, El género Spondylus en el Eoceno del Noreste de la Península Ibérica, plate 3, figures 2a-2c.
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«Spondylus aegyptiacus est un des fossiles les plus abondamment représentés dans l'Assemblage-Zone à Plicatula (Darteplicatula) polymorpha (Priabonien). Son assimilation à Spondylus radula Lmk., 1806, proposée par L.R. Cox (1931, 1936) et admise par F. E. Eames (1951), S. Freneix & A. Gorodiski (1963) et M. Glibert & L. van de Poel (1965) me paraît insoutenable. Il se distingue en effet de l'espèce d'Europe par ses valves plus renflées, ses côtes relativement moins inégales entre elles, plus saillantes, assez fréquemment bifides, voire trifides, et ses épines nettement plus épaisses, moins nombreuses et plus longues quand elles ne sont pas cassées, ce qui est très rare.»
STROUGO, A. 1977. Le "Biarritzien" et le Priabonien en Egypte et leurs faunes de bivalves. Travaux du Laboratoire de Paleontologie, Université de Paris, Faculté des Sciences d'Orsay, 247 p., pls. 1-11. [p. 161]
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Spondylus aegyptiacus Newton, 1898; A. Strougo, 1977, Le "Biarritzien" et le Priabonien en Egypte et leurs faunes de bivalves, plate 3, figures 7a, 7b, 8, 9..
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«Distribution.
Lutétien: Grignon calcaire grossier (localité du type) Autres localités dans l'Eocène moyen: - le Bassin de Paris avec de nombreuses localités Courtagnon, Parnes, Chaumont, Mouchy, Damery, Chamery, Fontenay, St Père - Normandie (Fresville, Valognes), Bretagne (Bois Gouêt) - Belgique (sables d'Assche) - région de Nice (La Palarea); Biarritz - toutes les localités classiques d'Italie. A l'Eocène supérieur on la trouve dans les Alpes françaises, avec aux Combes près de St Bonnet une forme présentant une différence plus grande entre les côtes principales épineuses et les côtes secondaires fines granuleuses. Elle est signalée également dans les localités priaboniennes d'Italie. Vers l'Est on l'indique en Transylvanie. en Hongrie, dans les Blakans en Bulgarie, en Transcaucasie, dans le Sud de l'URSS, en Iran (île de Bahrein). Elle se trouve aussi en Egypte (Mokattam) et en Somalie.» ZAVAREI, A. 1973. Monographie des Spondylidae actuels et fossiles. Centre d'études et des recherches de Paleontologie biostratigraphique. Notes et Contributions, 4: 1-233, pls. 1-16. [p. 109]
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Spondylus radula Lamarck 1806; A. Zavarei, 1973, Monographie des Spondylidae actuels et fossiles, plate 12, figures 5-8, 11, 12.
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«After careful study of material from Egypt and Persia, as well as from the regions already mentioned, I have come to the conclusion that S. aegyptiacus Newton is a synonym of S. radula. The species was originally based on much-eroded specimens from which all details of the sculpture had disappeared. It was hesitatingly accepted by OPPENHEIM (loc. cit.), who considered the chief diagnostic characters to be its gibbosity and the rather irregular arrangement of its costae, which do not group themselves obviously into series of primary, secondary, and tertiary strength. Some of the Somaliland specimens examined agree well with S. aegyptiacus, but there is every gradation between these and specimens agreeing with the typical S. asperulus or S. radula. There is considerable variation in the inflation; hence the gibbosity of S. aegyptiacus cannot be considered as diagnostic. The left valve of the Indian specimen now described agrees well with the corresponding valve of S. aegyptiacus figured by OPPENHEIM (loc. cit., fig. 1), but I am convinced that the specimen cannot be separated from S. radula.»
COX, L. R. 1932. A Contribution to the Molluscan Fauna of the Laki and Basal Khirthar Groups of the Indian Eocene. Transactions of the Royal Society of Edinburgh, 57 (1): 25-92, pls. 16-18. [p. 68, 69]
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Spondylus radula Lamarck; L. R. Cox, 1932, A Contribution to the Molluscan Fauna of the Laki and Basal Khirthar Groups of the Indian Eocene, plate 3, figures 23a, 23b.
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