Spondylopecten erinaceus (Buvignier, 1852)
BUVIGNIER, A. 1852. Statistique géologique, minéralogique, minérallurgique et paléontologique du Département de la Meuse. Atlas de 32 planches. 52 pp., pls. 1-32. J. B. Baillière, Paris [p. 23, pl. 19, figs. 7-12]
1852 Pecten erinaceus Buvignier, 1852
1901 Pecten roederi Loriol, 1901
1901 Pecten roederi Loriol, 1901
A. Buvignier, 1852, plate 19.
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«Pl. XIX, Fig. 7 La valve gauche vue en dehors.
— 8 Fragment de la parlie inférieure grossi. — 9 Coupe de ce fragment. — 10 Fragment de la partie supérieure grossi et coupe de ce fragment. — 11 Oreillelte antérieure de la valve droite. — 12 La coquille vue par les crochets. P. testâ suborbiculari, subinflatâ, costatâ; costis 22-24 quadratis; costis valvae dextrae in angulis et cum aetate in linaeâ medianâ squamatìm echinatis; sulcis angustioribus profundis, subconcavis, transversè striatis; striis tenuissimis, confertis, incurvis; costis valvae sinistrae subinermibus, transversè striatis, in medio subcanaliculatis; auriculis subaequalibus, anticis majoribus, costis 6-8 squamosogranulatis radiatis; posticis brevioribus transversè striatis, costis subsquamatis tenuibus, rarioribus decussatis; umbonibus prominentibus, rotundatis, acutis, approximatis.
Longueur 40 mill., largeur 57, épaisseur 21.
Coquille orbiculaire, un peu renflée, ornée de 22 à 24 côtes à peu près carrées, séparées par des sillons plus étroits, profonds, légèrement concaves et très-finement striés en travers; les côtes de la valve droite sont hérissées sur les arêtes d'écailles épineuses. A un certain âge, il se forme sur le milieu de chaque côte une ligne d'épines de mênle forme, mais plus petites; sur la valve gauche, les côtes sont à peine écailleuses; elles portent des stries transversales très·fines et un sillon longitudinal dans le milieu; les oreillettes antérieures un peu plus grandes que les autres, portent 6 à 8 côtes rayonnantes, écailleuses, serrées, un peu plus fortes sur la valve droite. Les oreillettes postérieures finement striées transversalement, paraissent avoir aussi quelques côtes rayonnantes, subécailleuses, fines et distantes.
Il arrive souvent que les épines de cette coquille ont été usées par le frottement; elles ne présentent plus alors que des côtes planes et 'lisses. De l'oolithe ferrugineuse supérieure de l'Oxford-clay. Vignot, Eix, et de l'oolithe blanche du coral-rag de Saint-Mihiel. r.» AMAND BUVIGNIER, 1852
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«Comparisons and comments. With distinguishing of Spondylopectinidae Kasum-Zade et Romanov, 1987 two subfamilies were included: Spondylopectininae Kasum-Zade et Romanov, 1987 and Radulopectininae Romanov, 1985 (A. A. Kasumzade and L. F. Romanov, 1987). However, this family simultaneously examined by us (A. A. Kasumzade, 1987 and 1989) included two genera: Spondylopecten [type: Pecten (S.) cf. erinaceus Buvignier, Roeder, 1882 (= Pecten (Chlamys) roederi Loriol, 1901)] and Plesiopecten. Differences in opinion concluded the following. We proposed that the genera Spondylopecten and Plesiopecten are a connecting link between the genera Weyla Bohm, 1922 and Neithea Drouet, 1824.»
KASUM-ZADE, A. A. 2003. Advance in research of mesozoic bivalve mollusks in Azerbaijan (Order Pectinoida: Revision and Systematics). 111 pp. Baku (in Russian; translated by Rosanne D’Aprile Johnson, VIARC, Smithsonian Institution). [p. 56]
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«'P.' erinaceus Buvignier (3 spine rows, 22-24 plicae) and 'P.' ('Chlamys') Roederi DE LORIOL (24 plicae), both described from the Oxfordian, have plical counts and metric proportions of their respective figures (2, 3) which are inseparable from those of S. (S.) palinurus from the same stage. 'P.' araricus ÉTALLON was said to lack the spinose ornament of 'P.' erinaceus but the figured specimen has clearly been sub|ect to abrasion.»
JOHNSON, A. L. A. 1984. The palaeobiology of the bivalve families Pectinidae and Propeamussiidae in the Jurassic of Europe. Zitteliana, 11: 1-235, pls. 1-11. [p. 94]
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