Spondylus buchi Philippi, 1846
PHILIPPI, R. A. 1846. Verzeichniss der in der Gebend von Magdeburg aufgefundenen Tertiärversteinerungen. Palaeontographica, 1: 42-74, pls 7-10. [p. 55, pl. 7, figs. 9a, 9b]
1846 Spondylus buchii Philippi, 1846
1850 Spondylus subspinosus Archiac, 1850
1852 Spondylus limoides Bellardi, 1852
1852 Spondylus paucispinatus Bellardi, 1852
1863 Spondylus teysenbergensis Schafhäutl, 1863
1909 Spondylus buchi var. frauscheri Toniolo, 1909
1850 Spondylus subspinosus Archiac, 1850
1852 Spondylus limoides Bellardi, 1852
1852 Spondylus paucispinatus Bellardi, 1852
1863 Spondylus teysenbergensis Schafhäutl, 1863
1909 Spondylus buchi var. frauscheri Toniolo, 1909
R. A. Philippi, 1846, plate 7.
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«Sp. testa libera, regulari, costis 20 — 22 regularibus triquetris vix hinc inde aculeatis; auriculis aequalibus distinctis, costatis et aculeatis, demum laevibus; margine plicato.
Eine Schale, 20'" lang, 19'" breit, 5½'" hoch, von Osterweddingen befindet sich in der Sackschen Sammlung. Das verlängerte dreieckige Schlossfeld, die Zähne des Schlosses, die Lage des Muskeleindruckes beweisen, dass wir eine untere Schale vor uns haben; dennoch ist nicht die leiseste Spur einer Anheftung da, sondern diese Art ist, wie Spondylus imperialis Sow., vollkommen frei gewesen. Wie diese schöne chinesische Art ist auch Sp. Buchii überaus regelmässig gerippt; ich zähle 20 — 22 Rippen, welche anfangs gerundet sind, zuletzt aber flach dreikantig werden, und mit dicht gedrängten, feinen, regelmässigen Anwachsstreifen bedeckt sind. Die Zwischenräume sind schmaler als die Rippen. Auf der hintern Seite haben die dritte Rippe und dann die sechste jede zwei bis drei Dornen getragen, auf der andern Seite haben auch vielleicht ein paar Dornen gesessen. (Diese vordere Seite fehlt dem einzigen vorliegenden Exemplar.) Beide Ohren sind sehr deutlich und scharf abgesetzt, am Grunde mit erhabenen Ouerrunzeln oder Stacheln, und etwa drei undeutlichen Rippen besetzt, dann aber glatt und nur von den Anwachsstreifen durchzogen. Das Schlossfeld ist bei einer Länge von 7'" nur 1⅔"' hoch, senkrecht gestreift. Der Rand hat so viel tiefe Kerben als Rippen da sind. Vielleicht ist hiermit Sp. auriculatus Nyst. Descr. Coq. foss. Belg. einerlei, der nach einem sehr unvollkommenen Exemplar und daher sehr ungenügend beschrieben ist. Wir erfahren z. B. nicht, wie viel Rippen derselbe hat, ob er angewachsen gewesen ist, oder nicht etc. Unter diesen Umständen ist es nur zu bedauern, dass Herr Nyst ihm einen Namen gegeben hat.»
RUDOLPH AMANDUS PHILIPPI, 1846
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«Descripción. Concha oval, subequilátera y casi equivalva. Aurículas pequeñas, la posterior algo mayor. Valva izquierda con 22 costillas desprovistas de espinas y de otros ornamentos. Valva derecha con igual número de costillas. Algunas costillas de esta valva poseen algunas espinas.
Notas. Esta especie se parece a Sp. rodensis pero se distingue por su gran talla y un número menor de costillas.
Distribución. Citada desde el Eoceno medio hasta el Oligoceno en todo el dominio mediterráneo. En la zona de nuestro trabajo se halla en capas del Bartoniense.»
CARRASCO, F. J. 1994. El género Spondylus en el Eoceno del Noreste de la Península Ibérica. Scripta Musei Geologi Seminarii Barcinonensis, 226: 1-21, pls. 1-3. [p. 5]
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Spondylus buchii Philippi, 1846; F. J. Carrasco, 1994, El género Spondylus en el Eoceno del Noreste de la Península Ibérica, plate 2, figures 4a-4c.
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«Coquille ovale très régulière, subéquilatérale et presqu'équivalve, cependant dans la région cardinale la valve droite se prolonge par un talon très court. Le côté postérieur est légèrement plus développé que l'antérieur. Les auricules sont petites et inégales, la postérieure étant la plus grande. A la valve gauche le nombre des côtes est constant et égal à 22, Ces côtes sont simples et s'étendent régulièrement jusqu'au sommet elles sont dépourvues d'aspérités et d'épines. Les intervalles sont légèrement plus étroits qu'elles. Elles ondulent le bord des deux valves de telle sorte que les sillons de l'une s'emboitent dans les plis de l'autre.
Il Y a donc à la valve droite le même nombre de côtes qu'à la valve gauche. Cependant sur les bords latéraux de la valve droite il peut y avoir quelques côtes supplémentaires. En outre sur cette valve droite on observe quelques épines, mais elles sont peu nombreuses et limitées à quelques côtes. Leur mode d'insertion sur les côtes est également particulier. Le plus souvent elles sont cassées et seule leur base persiste. On note aussi une multitude de fines stries concentriques d'accroissement, finement dentelées, plus nettement visibles sur les sillons que sur les côtes. L'aire de fixation consiste en une petite surface de quelques mm située tout à fait au sommet. Les corchets des deux valves s'affrontent. Rapports. Cette espèce ressemble beaucoup à Spondylus spinosus (Sow.) avec laquelle elle était confondue notamment par DESHAYES (1844 Bull. Sac. géol. Fr., I, p. 577). Elle s'en distingue cependant facilement par sa taille plus grande, ses épines plus fortes et surtout le système de très fines stries concentriques; enfin le nombre des côtes n'est que de 22 à 23.
Distribution. Cette espèce est signalée dans l'Eocène mayen et jusque dans l'Oligocène de tout le domaine méditerranéen depuis les côtes françaises, jusqu'en Ukraine et Crimée. Elle se trouve aussi à Biarritz.»
ZAVAREI, A. 1973. Monographie des Spondylidae actuels et fossiles. Centre d'études et des recherches de Paleontologie biostratigraphique. Notes et Contributions, 4: 1-233, pls. 1-16. [p. 118, 119]
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Spondylus buchi Philippi 1846; A. Zavarei, 1973, Monographie des Spondylidae actuels et fossiles, plate 12, figures 17, 18.
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