Pecten nitidulus G. Vincent, 1872
VINCENT, G. 1872. Description du Pecten nitidulus. Annales de la Société malacologique de Belgique, 7: 12-13, pl. 1. [p. 12, pl. 1, figs. 1-3]
«PECTEN NITIDULUS, Vinc.
— Planche I, fig. 1, 2, 3. --
P. Testa orbiculatâ, aequilaterâ et transversìm striatâ, striis argutissimis, irregularibus; auriculis inaequalibus, anteriore radiatim costatâ.
Cette coquille, que nous croyons nouvelle et dont nous n'avons pu jusqu'aujourd'hui trouver que deux valves de gauche, est orbiculaire et équilatérale; elle a sa surface extérieure couverte d'une multitude de fines stries provenant de l'accroissement de la coquille et visibles seulement au moyen de la loupe. Ces stries sont elles-mêmes traversées par d'autres stries rayonnantes, plus serrées que celles d'accroissement et presque invisibles. Le crochet est peu saillant. Les oreillettes sont inégales, un peu obliques; la postérieure, la plus petite, est finement striée comme la surface de la valve; l'antérieure, qui est la plus grande, est ornée de côtes rayonnantes; elle est fortement échancrée à la base, où elle est munie à son bord inférieur de huit petites dents ; la fossette du ligament est triangulaire et peu profonde. Notre coquille mesure 37 millimètres de longueur sur 35 de largeur.
Ce Peigne, qui a beaucoup de ressemblance avec le Pecten corneus, Sow., doit avoir été, pensons-nous, souvent confondu avec ce dernier; il s'en distingue par les oreillettes plus longues, par l'antérieure, qui est striée, et par l'échancrure de celle-ci plus profonde et dentelée à son bord inférieur.» GÉRARD VINCENT, 1872
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G. Vincent, 1872, plate 1.
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